La période coloniale
Au cours de l’âge d’or de la piraterie, les îles accueillirent de nombreux colons. De nombreux conflits éclatèrent, pour décider de la nation qui obtiendrait le contrôle des îles mais, à cause de l’influence des Enfants d’Enos, aucun gouvernement ne l’emporta. Bien vite, aucune loi n’y régna plus et les îles acquirent une réputation d’endroit où les biens mal acquis pouvaient être vendus et de sombres marchés conclus. Les cartographes de l’époque donnèrent à l’archipel le nom d‘“Insoumises."
Les Insoumises devinrent un havre pour toutes sortes de pirates, de hors-la-loi et d’hérétiques. Les pirates anglais s’en servaient comme d’un port pour leurs raids contre les Espagnols. De nombreux corsaires et pirates payaient le Gouverneur (le nom que les dirigeants des îles avaient choisi de se donner) pour jouir de ce privilège. Grâce à la proximité des Amériques, la piraterie et la contrebande devinrent les principales industries des îles. Soucieux de ne pas s’attirer les foudres de quelque nation, les Gouverneurs fermaient un oeil sur les pirates, tout en gardant l’autre bien ouvert pour les pendaisons, “pour l’exemple,” de capitaines et d’équipages, dont la mort satisfaisait l’Angleterre, la France ou l’Espagne, et qui avaient par ailleurs oublié de payer le Gouverneur. Etant donné qu’aucune grande puissance ne cherchait vraiment à conquérir l’archipel et que toutes les grandes flottes de l’époque s’y arrêtaient pour leurs affaires louches, les dirigeants des îles étaient plus ou moins neutres, signant tout accord ou marché qui leur profitait le mieux.
Les Insoumises devinrent un havre pour toutes sortes de pirates, de hors-la-loi et d’hérétiques. Les pirates anglais s’en servaient comme d’un port pour leurs raids contre les Espagnols. De nombreux corsaires et pirates payaient le Gouverneur (le nom que les dirigeants des îles avaient choisi de se donner) pour jouir de ce privilège. Grâce à la proximité des Amériques, la piraterie et la contrebande devinrent les principales industries des îles. Soucieux de ne pas s’attirer les foudres de quelque nation, les Gouverneurs fermaient un oeil sur les pirates, tout en gardant l’autre bien ouvert pour les pendaisons, “pour l’exemple,” de capitaines et d’équipages, dont la mort satisfaisait l’Angleterre, la France ou l’Espagne, et qui avaient par ailleurs oublié de payer le Gouverneur. Etant donné qu’aucune grande puissance ne cherchait vraiment à conquérir l’archipel et que toutes les grandes flottes de l’époque s’y arrêtaient pour leurs affaires louches, les dirigeants des îles étaient plus ou moins neutres, signant tout accord ou marché qui leur profitait le mieux.
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Très bien
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1 septembre 2012
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17 septembre 2009
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15 avril 2009
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22 octobre 2007
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13 octobre 2007